Addiction au sucre : que faire ?
Si vous êtes sur cette page, vous ressentez sûrement des envies compulsives de consommer des aliments sucrés, tout en sachant que ceux-ci nuisent à votre santé. Contrairement à une idée reçue, l’addiction au sucre n’est pas liée à un manque de volonté : elle se trouve au croisement de nombreux facteurs physiques, émotionnels et environnementaux, expliquant pourquoi il est si difficile de résister à un paquet de bonbons.
La bonne nouvelle, c’est que ce conditionnement n’est pas une fatalité. En comprenant les rouages physiologiques et psychologiques de la dépendance au sucre, il est toujours possible de reprendre le contrôle sans avoir l’impression de se priver. Restez avec nous, on vous explique tout !
Addiction au sucre :
de quoi parle-t-on ? Définition
L’addiction au sucre est un comportement qui se caractérise par le besoin irrésistible de consommer des produits sucrés. Face à ces aliments, la personne a l’impression de perdre le contrôle, ce qui mène à des excès aussi bien en termes de quantité que de fréquence.
Contrairement à d’autres produits addictogènes, le sucre peut être consommé en petite quantité sans danger. Consommé de manière raisonnable, il est un élément essentiel de notre alimentation : l’OMS recommande une consommation de 25 g de sucre par jour pour un adulte en bonne santé, le seuil maximum étant fixé à 50 g.
Quel est le prix d’un traitement naturel contre l’addiction au sucre ?
Vous souhaitez vous libérer de l’addiction au sucre sans frustration, sans souffrance ?
La formule proposée par Ciggy Free inclut 3 séances de luxopuncture et un suivi personnalisé, pour
L’addiction au sucre, mythe ou réalité ?
Le sucre est souvent comparé à une drogue. En effet, la consommation de produits sucrés active le même circuit de la récompense que l’alcool, la cocaïne et d’autres substances addictives ; dès la première bouchée, notre cerveau libère de la dopamine, une hormone qui génère une sensation de plaisir et nous incite à répéter le comportement.
Le potentiel addictogène du sucre est confirmé par la science : une étude française souvent citée montre notamment que des rats devant choisir entre une boisson sucrée ou de la cocaïne optent à 94% pour le premier choix.
Aussi, l’arrêt du sucre peut entraîner des symptômes de sevrage, notamment :
Irritabilité
Sueurs
Vertiges
Tremblements…
L’addiction au sucre n’est donc pas un mythe; toute personne concernée vous le confirmera facilement !
Cela dit, le sucre n’est pas officiellement classé comme une drogue; par ailleurs,nous manquons à ce jour d’études réalisées sur des humains. C’est pourquoi certains scientifiques et professionnels de santé préfèrent parler de dépendance au sucre.
Quelles sont les causes de l’addiction au sucre ?
Causes physiques :
les hormones mènent la danse
Comme expliqué plus haut, l’absorption de sucre déclenche une réaction immédiate au niveau du cerveau, qui sécrète :
De la dopamine, aussi appelée “hormone du plaisir”
Des endorphines, qui procurent une sensation de bien-être et de détente.
Assez rapidement, le cerveau crée un lien fort entre ces sensations agréables et vos produits sucrés favoris : c’est là que la dépendance s’installe.
En parallèle, l’ingestion de sucre entraîne un pic de glycémie (lié à l’insuline) suivi d’un “crash”, ce qui pousse à reprendre du sucre pour rétablir l’équilibre. Un véritable cercle vicieux se met alors en place.
Les circuits neuronaux de la dépendance sont puissants, et déclenchent une cascade de réactions physiologiques et psychologiques inconscientes. D’où l’impression de perdre le contrôle face à l’envie de sucre, et la sensation de manque qui s’installe lorsque vous tentez d’arrêter.
Mais soyez rassuré(e) : en utilisant la bonne méthode de sevrage, il est toujours possible de casser le cercle vicieux.
Terrain psycho-émotionnel :
ce n’est pas qu’une question de volonté !
Personne n’échappe au feu d’artifice des hormones en réponse à la consommation de sucre. Alors, pourquoi certaines personnes deviennent dépendantes, alors que d’autres peuvent manger quelques gâteaux sans dévorer le paquet ?
Nous touchons ici aux causes subtiles de l’addiction au sucre, qui dépassent la seule physiologie. En effet, les personnes dépendantes ont en commun d’utiliser le sucre pour gérer les émotions douloureuses, comme l’angoisse ou la tristesse.
Cette difficulté à “métaboliser les émotions” est fréquente dans nos sociétés. En voici le mécanisme :
Pendant l’enfance, nous apprenons que certaines émotions sont “dangereuses”
Un comportement (ex: manger des bonbons) nous permet d’apaiser ces émotions
Nous répétons le comportement, qui devient une addiction ou une compulsion.
Bien sûr, cela se fait inconsciemment, d’où la difficulté à vaincre la dépendance par la seule volonté.
Notez que les personnes qui souffrent d’anxiété ou de dépression sont plus susceptibles de devenir accro au sucre. En effet, en plus d’être liés aux émotions, ces troubles se caractérisent par un déséquilibre des neurotransmetteurs et du système nerveux. Ils créent donc un terrain favorable aux addictions.
L’addiction au sucre, un mal du siècle ?
La dépendance au sucre ne serait pas un problème si les produits sucrés n’étaient pas si répandus dans l’alimentation moderne. A chaque époque ses tentations ! Toutefois, si l’on regarde les statistiques, on voit que la consommation de sucre en France est relativement stable. Actuellement, chaque français consomme environ 35 kg de sucre par an, un chiffre qui n’a pas beaucoup évolué depuis les années 1990. Cela dit, il reste supérieur à la moyenne mondiale de 20 kg par personne et par an.
Alors, peut-on considérer l’addiction au sucre comme un problème de société ? Oui, si l’on considère la grande disponibilité des produits sucrés en magasin, et l’abondance de publicités alléchantes qui semblent nous pousser au vice. Mais le gain d’intérêt récent pour l’addiction au sucre n’est pas uniquement un signal d’alarme. Il s’inscrit aussi dans un mouvement global de prise de conscience, poussant un nombre croissant de personnes à prendre leur santé en main; santé physique bien sûr, mais aussi émotionnelle et mentale.
Quelles sont les conséquences de l’addiction au sucre ?
Consommé avec modération, le sucre n’est pas dangereux. Les conséquences de l’addiction au sucre se manifestent à partir d’un certain seuil de consommation, qui peut varier d’une personne à l’autre. Voici les principaux risques à connaître :
Problèmes de poids :
surpoids, obésité, résistance à la perte de poids
Troubles métaboliques :
insulinorésistance, diabète de type 2, syndrome métabolique
Augmentation du risque cardiovasculaire:
hypercholestérolémie, hypertension
Souffrance psychologique :
diminution de l’estime de soi, isolement, instabilité émotionnelle
Troubles de la santé mentale :
pics de stress, augmentation des symptômes d’anxiété et de dépression
Détérioration de la santé dentaire :
caries, maladie parodontale, érosion de l’émail.
A l’exception de certaines pathologies dentaires, ces conséquences ne sont pas irréversibles. Dès que la consommation de sucre revient à la normale, le métabolisme et l’ensemble des fonctions corporelles se rééquilibrent naturellement.
Addiction au sucre : comment se sevrer ?
Pour certaines personnes, le meilleur moyen de se sortir d’une addiction au sucre est de supprimer tout produit sucré de leur alimentation. Cette approche radicale peut fonctionner, mais elle demande beaucoup de volonté pour surmonter les symptômes physiques et psychologiques du sevrage, en particulier l’irritabilité, l’humeur fluctuante et les envies compulsives (cravings).
En général, on recommande aux personnes dépendantes de réduire progressivement leur consommation de sucre, afin de moins brusquer le cerveau et le système nerveux. Voici quelques conseils à suivre pour limiter la frustration :
Pensez “remplacement” plutôt que “suppression”.
Par exemple, remplacez votre boisson sucrée favorite par un thé glacé non sucré, une eau de coco ou une eau infusée aux fruits.
Commencez votre journée par un repas faible en sucres.
En effet, lorsque le premier repas est riche en sucres rapides, cela entraîne un pic d’insuline suivi d’une hypoglycémie réactionnelle, qui réveille l’envie de sucre assez rapidement.
Adoptez une alimentation nutritive,
suffisamment riche en protéines, en fibres et en bonnes graisses (avocat, huile d’olive, poissons gras…). Apporter au corps ce dont il a besoin permet de limiter les fringales et la tentation de compenser par le sucre. Les protéines en particulier sont un excellent coupe-faim.
Lisez les étiquettes pour éviter les faux-amis.
En effet, de nombreux aliments et boissons prétendus sains sont en réalité remplis de sucre ! C’est le cas notamment des smoothies, dont la teneur en sucre n’est pas beaucoup plus faible que celle des sodas.
Enfin, n’hésitez pas à vous faire accompagner, car l’addiction au sucre n’est pas toujours simple à éradiquer.
Lorsque la dépendance est liée à des problématiques profondes, la psychothérapie est souvent recommandée; cela dit, les changements induits par la thérapie s’installent très progressivement, sur plusieurs mois au minimum. Pour mieux gérer le manque, l’irritabilité et les fringales dès maintenant, c’est sur le système nerveux qu’il faut agir, ce que permettent certaines méthodes holistiques comme la luxopuncture.
La luxopuncture, un traitement naturel contre l’addiction au sucre
La luxopuncture est une méthode innovante utilisée pour traiter un large éventail de dépendances et de compulsions. Inspirée de la médecine chinoise et de l’acupuncture, cette méthode consiste à stimuler des points précis du corps grâce à un appareil émettant un faisceau infrarouge. Pour traiter l’addiction au sucre, il s’agit des points associés à la satiété, au métabolisme ainsi qu’à la régulation des émotions.
Lors d’une séance de luxopuncture, aucune aiguille ne pénètre sous votre peau. Le praticien utilise un appareil ressemblant à un stylet, qui émet un faisceau lumineux le long des méridiens du corps associés à votre problématique. Ce procédé permet d’interagir avec le système nerveux autonome, qui joue un rôle clé dans la régulation de l’humeur, des émotions, de l’appétit et des envies compulsives.
Dès la première séance, votre système nerveux commence à se réguler, entraînant une cascade de réactions physiologiques qui vous libère de la dépendance :
Le cerveau se remet à sécréter des endorphines et de la dopamine par lui-même, ce qui diminue l’association automatique “sucre = plaisir”
Vous vous sentez plus calme et plus serein(e), ce qui augmente votre sensation de maîtrise face aux aliments sucrés
Votre taux de cortisol diminue naturellement, ce qui vous rend moins sensible au stress et aux fringales associées.
Comme l’acupuncture, la luxopuncture est une méthode holistique, qui traite chaque personne comme un système complexe fait d’émotions, de pensées et de réactions physiologiques. Cela permet de traiter les causes de la dépendance, qui n’est jamais que le symptôme d’un déséquilibre global.
Avec ce type de méthode, le sevrage du sucre n’est plus vécu comme une lutte contre soi-même, mais comme la conséquence naturelle d’un équilibre retrouvé.
Quel est le prix d’un traitement naturel contre l’addiction au sucre ?
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Les avantages de la luxopuncture contre la dépendance au sucre
Voici quelques avantages comparatifs de la luxopuncture par rapport à d’autres solutions contre l’addiction au sucre :
Méthode
Avantages comparatifs de la luxopuncture
Régimes restrictifs, sevrage “à la volonté”
- Pas de frustration extrême
- Peu voire pas de symptômes de sevrage
- Régulation de l’humeur et de l’appétit
- Action sur les circuits de la dépendance et sur les comportements
Acupuncture classique
- Pas d’aiguille -> pas de douleur ni de risque infectieux
- Convient aux personnes ayant peur des aiguilles
- Protocole généralement plus rapide
Compléments alimentaires anti-sucre et coupe-faim
- Pas d’ingestion de substance -> pas d’effet secondaire
- Pas d’accoutumance
- Action sur les circuits de la dépendance et sur les comportements
Suivi psychologique / TCC
- Action physiologique directe (sur le système nerveux)
- Résultats rapides
- Peut être combinée à la psychothérapie pour des résultats renforcés à long terme.
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